Catégorie : Jean Morin

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Blanche-Beige et les sept nouilles

Blanche-Beige et les sept nouillesTout à coup, derrière moi, j’entends du bruit. Ce sont les nains qui ont terminé leur journée de labeur et qui reviennent au bercail.

– Salut les gars !
– Bonjour étranger ! clament-ils à l’unisson.
– Attendez, ne me dites rien : toi, tu es Prof, toi, Timide, ensuite Joyeux, Simplet, Grincheux, Dormeur et, toi, tu dois être Atchoum.
Les sept mineurs se regardent un peu abasourdis.
– Mais qu’est-ce qui te prend, pourquoi tu nous traites de tous ces noms ? hurle Grincheux.
– On ne s’appelle pas du tout comme ça ! précise Prof.
– C’est complètement idiot, ce que tu dis ! note Simplet.
– Mais c’est à dormir debout ! soupire Dormeur.
– Je n’y comprends rien, si j’ose dire ! murmure Timide.
– C’est drôle ce que tu dis ! ajoute Joyeux.
– Atchoum ! dit Atchoum

C’est grâce à l’humour et à l’imagination de Maxime si on revisite le conte de Blanche-Neige et les sept nains… à sa manière.

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La poésie, c’est juste trop Beurk !

La poésie, c’est juste trop Beurk !Noah, Jérémy, Lou et Francis passent leurs journées entières à détester la poésie depuis que leur professeur les a obligés à écrire un poème qui rime en « É » pour la Saint-Valentin. Beurk !
Les quatre amis inséparables croient que la poésie ne devrait jamais figurer au programme des cours de français. Imaginez leur tête lorsqu’un concours de poésie est lancé dans l’école par le directeur avec une sortie fort alléchante comme prix.
De la poésie en dehors des cours de français, et quoi encore ? La prochaine fois, le concours sera lancé par le prof d’éducation physique ? N’importe quoi !

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Napoléon Ratté, le conquérant du mont Chapeau

Napoléon Ratté, le conquérant du mont Chapeau« – Mais je te promets une chose, ajoute Lisandru : je vais faire l’escalade du mont Chapeau dès cet été.
Napoléon doute que son grand-père soit capable de faire une pareille escalade. Peu de gens sont montés jusqu’en haut. Surtout, personne de cet âge. Il a entendu parler d’un passage particulièrement difficile, qu’on a surnommé « la coulée de la mort » même s’il ne s’y est jamais tué personne.
C’est une montée abrupte remplie de cailloux qui ont tendance à débouler en vous entraînant avec eux vers un précipice. (…) »

« Pour la première fois, Napoléon songe qu’il va peut-être mourir en même temps que son grand-père… »

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